J’ai déjà lu plusieurs livres de Marie Laberge dont j’ai apprécié la plupart. J’ai donc emprunté avec enthousiasme Revenir de loin.
Le récit commence avec Yolande qui sort du coma. Souffrant d’amnésie, elle va devoir découvrir sa vie dans laquelle elle ne se reconnait pas. Elle ne comprend ni son mari, ni sa fille, et c’est réciproque. D’autant plus quand elle se lie d’amitié avec un jeune, paumé et amputé, rencontré à l’hôpital.
Malgré les succulents dialogues québécois, le manque d’action et l’abondance de réflexions m’ont fait lâcher le livre après 300 pages, à la moitié.
Mais après une pause de quelques jours, j’ai soudain eu envie de le finir et j’ai bien fait. C’est malgré tout un livre qui donne à réfléchir sur la possibilité de saisir l’opportunité de commencer une deuxième vie.
600 pages quand même ! il fallait être motivée 🙂 Super que la fin ne t’ait pas déçue !
J’ai quand même dû m’y prendre à deux reprises 😉 Disons que je préfère l’action aux introspections…
Un sacré pavé. Heureusement que la fin était à ton goût. 🙂
C’est drôle parce que je l’avais mis de côté en pensant le rendre et tout d’un coup j’ai quand même eu besoin de le finir. Bon, je dis pas que j’ai tout bien lu chaque mot 😳